La carrière militaire d'Alphonse débute en 1890 au 159ème régiment d'infanterie dans les Alpes.
En 1896 il incorpore la Garde Républicaine.
En 1899, muté dans la gendarmerie il embarque vers la Nouvelle Calédonie puis à son retour sera affecté dans diverses brigades métropolitaines.
Il part en retraite en 1919.
Né en 1872 il décède en 1949.
Après la seconde guerre mondiale il existe deux écoles publiques au centre de Ploemeur : l'école des filles rue du Fort Bloqué et celle des garçons située dans la mairie actuelle. C'est l'époque où les écoles catholiques détiennent un quasi monopole de l'enseignement bien soutenues par la Municipalité. Ces deux entités publiques surnommées péjorativement "Les écoles du Diable" vont lentement prendre leur place dans la Commune et aujourd'hui enseignement privé et public vivent sereinement côte à côte.
Ce livre raconte l'histoire de 40 ans d'échange entre deux villes d'importance identique depuis 1983 à 2023. Fermoy se trouve en Irlande. Nombre de photos et de témoignages illustrent ce livre.
En 1958, le centre d’accueil et d’hébergement de jeunes en rupture familiale ou sociale est transféré de la cité de baraques de Soye (Lorient) au Guermeur (Ploemeur). Ce ne sont pas des délinquants mais la rumeur publique les considère comme tels jusqu’à surnommer ce centre éducatif en « centre de redressement »
Voilà en 136 pages ma vie de confiné dans mon village de Lannenec. Mon propos ne s’arrête pas aux limites de cet espace mais s’étend à l’Histoire de cette pandémie mondiale qui n’en finit pas jusqu’à cette année 2022 où l’on « croit » en avoir terminé ( ??)
C’est à l’initiative de Françoise Le Viavant que « le club du 3ème âge » voit le jour en 1976. Six présidents et présidentes se succèdent dans trois locaux successifs. 400 adhérents en moyenne pérennisent ce club qui se transformera en « Soleil d’Automne » en 1995. En 42 ans d’existence cette association est devenue la 3ème de la Ville de Ploemeur
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, les communes dont Ploemeur doivent faire face au retour des ex-réfugiés. Pour beaucoup, leurs domiciles ne sont plus habitables et la seule issue est de les reloger dans des habitats que l’on dit « provisoires » : les baraques. Notre commune accueillera plusieurs « cités » jusqu’au début des années 70
Ce livre tente humblement de répertorier les commerces ayant existé à Ploemeur depuis le XXème siècle et ceux en activité en 2018. Ce n’est pas simple tant il y en eut et certainement que des commerces sont passés entre les mailles du filet. Une vingtaine d’anciens et de commerçants encore en fonction ont témoigné dans ce livre
Tout au long de l’année 2018 Claude Charbonneau a relevé à travers la presse locale tous les évènements qui ont ponctué le quotidien de la Ville. Un livre d’histoire pour les générations futures.
Ce n’est qu’en 1971 que l’Amicale Laïque de Ploemeur envisage de s’avancer sur le terrain du Football. Fidèle à son souci premier, l’épanouissement de l’enfant, elle ouvre une école de foot à l’intention des enfants des écoles publiques avant d’étendre son activité à l’ensemble des enfants de la commune. L’aventure se terminera en 2007 avec la fusion de l’équipe et celle de l’Espérance de Ploemeur qui crée le FC Ploemeur
L’ALP c’est 50 ans de victoires et de succès sportifs et culturels. Plus qu’un club, c’est une école de vie. Depuis 1966, le club a évolué, s’est modernisé et structuré mais anime toujours la vie des Ploemeurois.
Il n’est pas si courant qu’une association fête ses 50 ans d’existence. Aussi est-il particulièrement important que « les gars et les filles de la côte » héritièr(e)s d’une longue lignée de footballeur(euse)s, par ce livre, conservent l’histoire dune amicale familiale toujours bien vivante et qui continue à rayonner dans ce secteur côtier de Lomener/Kerroch. Eugénie Le Sommer, joueuse de haut niveau, y a fait sa formation ²et témoigne dans ce livre
« L’Espérance » de Ploemeur est née de la création du Patronage paroissial par l’Abbé Guillaume en 1921. Plusieurs sections ont vécu ensemble : musique ou football parmi les plus connues. Au fil du temps, les disciplines disparaissent les unes après les autres jusqu’à la dernière, le football, en 2007, mettant fin à 86 ans d’histoire et le passage de milliers de jeunes acteurs.
Si Ploemeur, en 2015, conserve une vingtaine d’exploitations agricoles, il y a longtemps que Larmor-Plage, en est démunie. Ce livre déroule la vie rurale avec la liste des exploitations depuis les années 60 et des témoignages d’anciens mais aussi de la vingtaine d’exploitants en exercice en 2015 et dont certains ont quitté le métier en 2022
Quand en 1943 un belge rencontre à Ploemeur une jeune demoiselle Ploemeuroise cela se termine par un mariage. En 1965, ce belge, et son épouse, retournés en Belgique à Dixmude, est membre du Conseil municipal de sa ville, et propose un jumelage avec Ploemeur. Et cela fait 50 ans que ça dure
En 1945, Jean Guérard, rentre du maquis comme il y était entré 18 mois avant, en toute discrétion. Il reprend sa tâche à la ferme familiale avant de se marier et mener une vie d’exploitant agricole. Cette pudeur fait qu’il n’obtient aucune reconnaissance officielle sauf qu’après une conversation avec son épouse, Jean est décédé en 1986, Claude Charbonneau enquête et retrouve trace du passé de ce résistant dans les archives de Quimperlé. Il était temps qu’un hommage lui soit rendu
L’école Notre Dame de la Garde trouve ses racines à Beg er Vir grâce à un prêtre, l’Abbé Morio et un séminariste Berchmans Le Pipe en 1944, au moment de la Poche de Lorient. En 1953, l’école trouve sa place définitive dans des bâtiments en « dur ». 60 ans plus tard, en juin 2013, la pose de la première pierre d’une nouvelle construction symbolise non seulement le renouveau mais surtout la pérennisation de cette petite école à visage humain et à caractère familial. Cette école fonctionne toujours en 2022.
L’Histoire de l’école Saint Joseph de Ploemeur a débuté en 1862 pour se terminer en l’an 2000 à l’aube de ce XXIème siècle. De nombreuses générations s’y sont succédées, uniquement des garçons jusqu’en 1974, année de la mixité. Avant que ne disparaissent les traces de la présence pendant 148 ans des Frères de Saint jean Baptiste de la Salle il était normal que, par ce livre, reconnaissance leur soit accordée.
L’histoire du centre mutualiste de Kerpape débute en juin 1914 avec le souhait de voir la création d’un sanatorium dans la région en raison de l’existence de la tuberculose de la moelle osseuse. La proximité de la mer est très importante. Le centre connaît une croissance importante entre les deux guerres et devra se réfugier, durant le second conflit, dans le Loiret. De retour en 1952 il se transforme, avec la disparition de la tuberculose, en centre de rééducation fonctionnelle que l’on connaît aujourd’hui
Né le 23 janvier 1938, membre actif de la Jeunesse ouvrière chrétienne, il créa en 1957 l'amicale des jeunes des Kaolins, puis cofonda en 1961 la section CFTC/CFDT qu'il présida pendant trente ans. Il fut, au sein des carrières des Kaolins, l'une des chevilles ouvrières de la lutte syndicale, notamment pendant les grèves de 1968 et 1972. Il fut l'un des instigateurs de l'exposition « Les kaolins d'hier et d'aujourd'hui », dédiée aux mineurs du blanc et mit sur pied l'amicale des retraités des Kaolins, qui organisa le rassemblement des anciens élèves de l'école de Kergantic. En 1967, il fonda le Comité des loisirs des Kaolins qu'il présida trente années durant. Son engagement local s'est aussi traduit par une présence active au sein du conseil municipal de 1965 à 1983.
La directrice Marie Bocquet était très satisfaite du déroulement de la journée fêtant ce centenaire d’une école qui fonctionne toujours : « Cette fête a été une vraie réussite, les gens étaient ravis, il y a des personnes qui ne s'étaient pas vues depuis plus de 20 ans et certaines personnes étaient émues de revoir leur maîtresse d'autrefois
Jour après jour, Claude Charbonneau relève, à travers la presse, les évènements de la ville de Ploemeur, en 2011. Il en sortira ce livre de mémoire d’histoire pour les futures générations
Le XXème siècle avait 12 ans quand l’école est créée au lieu dit « Le Guermeur » proche des villages de Lomener et Kerroch. Il scolarisera les enfants de pêcheurs et agriculteurs. Les anciens se souviennent des rivalités entre pêcheurs et paysans mais aussi entre enfants de Kerroch et Lomener. L’école fonctionne toujours.
C’est en réalité une petite école privée qui naît en 1925 à l’initiative du Directeur de l’usine des kaolins de Ploemeur à l’intention des enfants de ses ouvriers mais aussi des agriculteurs des villages environnants. Cette école fermera ses portes en 1973.
En 435 après Jésus-Christ, Nennock, une princesse du Pays de Galles, atterrit sur une auge à l’endroit qui s’appellera Lann Nennock, transformé plus tard en Lannenec, village où naquit la ville de Ploemeur, 4ème ville du Morbihan
Qui se souvient du CPE (Contrat de première embauche). C’est l’histoire quotidienne de ce projet de loi depuis sa présentation au Conseil des Ministres jusqu’à sa promulgation après révision et correction sous la pression de la rue. C’est certainement unique dans la République : le Président Chirac a décidé de signer et promulguer cette loi, comme la Constitution l’y oblige, mais en notant qu’elle ne serait jamais appliquée… !!
Léone, prénom d’emprunt, a véritablement existé. Son histoire, elle aussi véritable, a été transposée par Claude Charbonneau en Bretagne et pour sa plus grande partie dans le Pays de Lorient… Elle a connu la misère du début du XXème siècle, a travers les deux conflits mondiaux et terminé sa vie de manière particulière mais chut…
…A leur demande, Claude Charbonneau a écrit l’histoire de Marylise et André Le Thiesque. Lui a été dès leur création le manager ou le secrétaire des Tri Yan, de Servat et de Shangaïe et, elle des Sonerien Du et Tonnerre…
C’est – pratiquement – l’autobiographie de Claude Charbonneau
… Jeanne-Louise, Grand-mère de l’épouse de Claude Charbonneau, a vécu toute sa vie au village de Lannenec. C’est l’exemple-type de la paysanne d’une bonne partie du XXème siècle avec ses bonheurs (sa famille) et ses malheurs (veuve à 29 ans.
Après son premier livre en 1987, Claude Charbonneau renouvelle, en 2002, et complète l’histoire du célèbre Bagad de Lann-Bihoué pour son demi-siècle
Le drame de l’Algérie est une blessure encore si profonde qu’on ose à peine y toucher. Nombre de jeunes bretons, à tout juste 20 ans, sans pratiquement de formation militaire, y passeront, pour certains, jusqu’à 36 mois de leur temps de jeunesse… Aujourd’hui encore, en 2022, certains n’ont pas réussi à oublier…
Né dans les landes de la Base Aéronavale de Lann-Bihoué (sur les communes de Lorient, Ploemeur, Queven et Guidel, cette formation a connu une extraordinaire renommée nationale et internationale. En cette année 1987, c’est son 35ème anniversaire. Claude Charbonneau, alors officier dans cette base, est sollicité par son Commandant pour en écrire l’histoire qui en deviendra un livre